Cela fessait plusieur jour que je me ballader dans ces jardins. Toujours à la réponse de baucoup de questions. Esque j'aurais la possobilité de revoir et protéger ma fiancée ? Aprés tout dans les film il disent toujours que les gens on des anges gardien qui veille sur nous esque je peut devenir cette genre d'ange ? Et moi mon ange gardien où est-il ? Esque je pourrais le rencontrer ? Pourquoi il n'a pas veiller sur moi ce jour la ?
Toute ces question me fessait mal au ventre, je rester donc la assis dans l'herbe totalement perdu dans mes pensées

Impossible... Malgrès tous ce qu´on m´avait dit, le nombre de fois ou on me l´avait conseillé depuis que j´étais ici, ca m´était impossible. J´avais beau essayer, réessayer, réréessayer,... encore et toujours, je n´y arrivai pas. Ce n´étais pas faute de l´avoir tenté cependant. En quete de quelque chose pour me changer les idées, je me dirigea vers le jardin d´eden. Un lieu magnifique, dans lequel j´arrivai plus ou moin a me changer les idées... Je me mis a errer sans but dans le jardin, regardant le ciel. Au détour d´un chemin je trebucha sur quelque chose et je culbuta par dessus, tombant par terre dans une possition digne d´un cartoon. Je me retrouva sur le ventre, jambe écarter. Si bien que celui qui passer deriere moi voyait tous. Sur le coup je ne m´en preoccupa pas. Je pensai avoir trebucher sur une grosse pierre ou un morceau de bois,... Je chercha, avant de me redresser, a reprendre ma repiration.

Toujours perdu dans ses pensées je savourais néanmoins le magnifique paysage. Tout ce silence et cette beauté me fessait vraiment réaliser que jetait au paradis. Un léger sourire qui se transformas en grimace quand je sentis un violent coup sur moi. Je me retrouvas par terre sur le cotés je ne comprenais pas ce qui venais de se passer. Je leva les yeux et me retrouvas avec ce que qui me sembler être une fille vu al robe. J’avais une vue que je ne penser pas voir de si tôt. De dos je voyais que c"était une fille au cheveux et aux ailes noirs. Je me releva d'un coup et me précipita sur elle pour la relever.

-Vous n'avez rien mademoiselle ?

Je mis quelques minutes a reprendre mes esprits, un peu sonner. J´entendi quelqu´un me demander si j´allai bien. J´ouvri la bouche pour repondre que oui j´allai bien, lorsque je vis venir vers moi un.... un homme?!? Je ne fis ni une ni deux et aussitôt je me releva sans lui laisser le temps de m´approcher plus. D´un bond je m´écarta vivement et je me senti rougir en pensant qu´il avait pu voir sous ma robe. Malgrés ma gene je le detailla neanmois. Je dut arreter car ces ailes blanches me fessait mal au yeux. Je me contenta donc de le fixé dans les yeux, le defiant de s´approcher plus près de moi.

Alors que je voulais l'aider à se relever je m'approcha doucement mais elle se releva d'un coup, tellement vite que je me recula d'un seul coup, mes aile sans que je le veuillent se mirent autour de moi comme pour me protéger. Avec ses grandes ailes noir, la jeune fille avait un coté mystérieux extrêmement beau. Elle me fixer droit dans les yeux et elle me fessait peur. Je ne comprenais pas pourquoi elle me regardais comme ça. Mais bon elle venait de tomber sur moi, peut-être elle m'en voulais d'avoir était sur son passage. Je m’approcha d'elle doucement.

- Tu ne t'est pas fait mal au moin ?

Je continua de l´observer, méfiante comme jamais. Un homme... Quel horreur! Doucement il s´approcha de moi. Aussitôt je me reculat.

Ne t´approche pas

En dissant cela je fut méchante. Après tout il voulait juste m´aider. Mais je ne supportai pas les hommes. Raison bien suffissante d´après moi, et qui compensait largement. Il me demanda alors si j´allait bien. Je me recula encore un peu par precossion et consenti a lui repondre, même si je restai froide et brusque.

Non, je ne me suis pas fait mal...

Elle fut froide et méchante, très méchante même, au point que cela me glaça le sang. Je stoppa net à son ordre je la regardais dans les yeux, limite attrister de sa façon de me parler. Après tout je n'avais rien fait de mal. Elle recula, elle devait surement avoir peur de moi. Je me demander ce que je pouvais avoir de si effrayant.

-Ok je ne m’approcherais pas. Ne t'en fait pas.

Elle avait repondut à ma question d’une façon méchante encore. J'avais encor mes mains devant moi comme pour me protéger et surtout lui montrer que je en compter pas lui désobéir.


-Ok si tu n'a rien c'est le principal. Je vais m'éloigner maintenant d’accord, désolé pour tout ça.

Je me recula et me mit de dos. Je n'ai jamais aimer la méchanceter surtout gratuite. Garçon ou pas je n'aimer pas ça. Je em mit à penser a ma famille, à ma chére et tendre qui n'était pas la. Je sais qu'elle aurait trouver les mots pour me rassurer et me consoler. Je m'assis sur l'herbe, je me sentais seul même si jétait au paradis. Je me mit a partir en sanglot.

Il s´arreta net a mes paroles. Il me dit qu´il ne s´approcherait pas et garda les mains tendu devant lui. Il me dit qu´il allait s´éloigner et il le fit. Il reculat puis se retourna, s´asseyant sur l´herbe. Je le regada, un peu deconcerter: je n´avais pas l´habitude que les hommes fassent se que je leur demande. Le peu d´experience que j´avais avec eux se ressumer aux brutes qui fessaient se qu´ils voulaient de moi quand leur chef me donner en pature a eux. Perdu dans mes pensées, j´entendis des sanglots. Ca me ramena dans le present et, part habitude je chercha autour de moi pour voir d´ou ca vener.

J´eu la surprise de constater que le jeune homme en était l´auteur. Je sursauta a cette constatation. Pour moi un homme n´était pas sensé pleurer et encore moin devant quelqu´un... Je ne savait pas quoi faire. Mon instinct de "petite mère" me poussait a aller le consoler, a la prendre dans mes bras, a lui murmurer des mots doux,... Mais mon instinc de fille blésser me pousser a me vanger de toutes les souffrances que j´avait subites de mon vivant sur lui, même si il n´y était pour rien.

Se fut mon éducation qui me departagea et finnalement je m´approcha prudement de lui, et le prit dans mes bras pour le consoler, comme je le fessait avec mon frère ou ma soeur. Mes ailes nous entourèrent dans un doux bruit de frou-frou, nous coupant un peu du reste et je le sera contre moi, maternel. Je resta neanmoins sur la defensive, prete a battre en retraitre a tout moment.

Je sangloter dans mon coin. Je me sentais si seul, si triste. J'était un ange mais je n'avais plus personne autour de moi. Et je en penser pas que les anges pouvait être méchant. Mais faut vraiment que j'arrette d'être aussi naïf. Mais alors que je continuais dans ma lancer je sentis une présence prés de moi puis sur moi. Quelqu'un venait de m'enlacer.
C'était cette ange noir. Comme c'est étrange, c'est elle qui venais de me faire pleurer et c'est elle qui me consoler.C'est avec ses aile qu'elle nous entourer. Je fut très surpris mais heureux, j'en avait besoin pour me calmer.
Je n'osais pas la serrer dans mes bras au risque de la faire fuir, je mis mes mains dans mon visage et la posa contre elle et je craquas encor plus. Il faut croire que j'en avait besoin. Je n'arrivais plus à m'arretter.
Mes ailes malgré moi se mirent autour de ses ailes à elle.Je leva la tête.

-Je suis désolé.

Il semblat surpri puis finalement il se laissa aller a pleurer. Visoblement il en avait besoin. Je ne dit rien et le sera un peu plus contre moi, murmurant de petits mots sans queu ni tête, destiner a le calmer. Doucement je vis ces ailes se depoyer et épousser la forme des miennes. Il s´excusa. Je le regarda et finalement je me mis a genoux, assise sur mes talons. Je continua de le sere contre moi, doucement
.
Ce n´est rien... Je comprend plus que tu ne le crois... Chut... Chuuu...

Doucement je continuai de murmurer des mots doux dans son oreille. Il fallait attendre qu´il se calme et pour le moment c´est se qu´il y avait de mieu a faire. Je contiua de le bercer doucement contre moi.

Je continuais de pleurer j'en avait vraimment besoin.Je mis beaucoup de minute avant de clamer, elle se mit a genous, la position était mieux, elle me chuchotter des choses rassurant et douce, comme une maman à son enfant. Mes ailes reployer sur les siennes je me sentais bien et rassurer. Je en voulais plus bouger mais je ne pouvait pas rester éternélement comme ça. Prenant mon courage à deux main je calma peu à peu mes sanglot. Je restais coller à elle, je ne voulais pas du tout bouger de cette prison d'ailes que nous avions crée.

-Je te remercie d'être venu.

Ma voix trembler encor